Premier débat sur la Saison 2015 de Fort Boyard
Publié le vendredi 10 juillet 2015 par On refait Fort Boyard 2015.
dans la rubriqueCet été encore, tous les quinze jours, la rédaction de Fort Bavard « refait Fort Boyard » en ouvrant un débat sur un élément général ou précis de l’émission qui divise souvent les fidèles. L’occasion de revenir sur l’histoire du jeu, mais surtout de proposer des pistes de réflexion pour l’avenir.
Fort de son succès la saison passée, nous rouvrons cette année la rubrique « On refait Fort Boyard ». Une nouvelle salve d’articles vous sera proposée, comme l’année dernière, mais cette fois tout au long de la saison, à raison d’un débat par quinzaine, en alternance avec des énigmes du Pères Fouras (voir ici). Les changements apportés à la structure organisationnelle du jeu nous offrent cette année l’opportunité de nombreux débats, il serait dommage de s’en priver. Nous fonctionnerons sur les mêmes bases que la saison dernière, à savoir un retour rapide sur le passe, une réflexion sur la situation actuelle et enfin des propositions pour l’avenir. Pour le premier débat de la saison, nous avons choisi d’évoquer La Cage, une nouvelle partie intermédiaire se jouant pendant la recherche des clés. Pourquoi l’avoir choisie comme premier débat de la saison ? Pour la simple et bonne raison que, contrairement à l’assaut du Fort, nous avons presque vu tous les duels de la partie, ce qui permet d’être plus exhaustif et juste. L’épreuve du Puits dans l’Assaut du Fort n’a pas encore été diffusée.
Pour traiter le sujet, nous découperons notre réflexion en trois parties :
- La première partie « Fort Boyard hier : les épreuves récurrentes pendant la partie Épreuves » reviendra sur les épreuves récurrentes ayant existé entre 1990 et 2014 pendant la partie « Épreuves » uniquement. Sont donc exclues les parties intermédiaires servant à remporter autre chose que des clés ou des boyards supplémentaires.
- La deuxième partie « Fort Boyard aujourd’hui : La Cage, plus qu’une épreuve, une sous-partie » fera un état des lieux de ce qui se passe actuellement.
- Enfin, la dernière partie « Fort Boyard demain : continuer à créer la surprise » ouvrira sur l’avenir en proposant des pistes et des idées, en évaluant ce qu’il semblerait bon de modifier ou de maintenir la saison suivante.
Allez, entrons dans La Cage, Rouge nous y attend !
FORT BOYARD HIER : LES ÉPREUVES RÉCURRENTES PENDANT LA PARTIE ÉPREUVES
Autant le dire tout de suite, La Cage innove puisqu’il n’a jamais existé de partie récurrente s’imbriquant dans celle des épreuves auparavant, et surtout non prise en compte dans le temps global de la partie. Il est vrai qu’avant 2002, c’est un chronomètre général qui prévalait, mais cela ne change pas le fait que celui-ci n’a jamais été interrompu avant cette saison. La Cage est donc bien une innovation en soi et un pari risqué pour la production.
Que se passait-il auparavant ?
On passera rapidement sur l’énigme du Père Fouras, qui, de 1990 à 2010, avait lieu en vigie. Le Père Fouras, lors des épreuves, posait deux énigmes en vigie, soit à l’intellectuel (candidat qui restait toute l’émission en vigie) lors des premières saisons soit à deux candidats qui montaient avec Passe-Temps. Quand l’énigme n’était pas trouvée, un autre candidat devait réaliser une épreuve semi-récurrente : aller chercher la clé lancée par le Père Fouras du haut de sa vigie dans la mer ou dans un filet. Depuis 2011, le Père Fouras ne pose plus d’énigmes en vigie, mais au cours d’épreuves et surtout au Conseil en face à face.
En revanche, il faut remonter à 1996, pour voir apparaître la première vraie épreuve récurrente au cours des épreuves. Cette épreuve, appelée officiellement la « Presse à boyard » a connu un immense succès auprès du public. À tel point qu’elle est restée six ans et a été interprétée par deux personnages différents : la Sauvageonne (Iléana Prouvost-Brillant) entre 1996 et 1997 et la Bohémienne (Marie Pecquery) entre 1998 et 2001.
Ici, pas de clé en jeu, mais une somme de boyards à récupérer. Le principe du jeu reposait sur le hasard. En face du candidat se trouvaient huit pièces ou cercles. Au hasard, le candidat devait en désigner un, sans jamais tomber sur une pièce blanche ou un rond noir au moment de la révélation du résultat. Le candidat pouvait s’arrêter à tout moment, tout en sachant que plus il allait loin, plus il gagnait de boyards qui s’ajoutaient à la somme remportée à la fin de l’émission (jusqu’à 25 000 francs tout de même si le candidat retournait huit des neuf pièces sans tomber sur l’intrus). L’équipe était confrontée deux fois à cette épreuve récurrente. Les candidats choisis pour la réaliser étaient « kidnappés » par le personnage dans les coursives du Fort entre deux épreuves. La différence entre la Sauvageonne et la Bohémienne était que cette dernière savait manier le feu et apprivoiser les animaux, ce qui offrait un spectacle très coloré et mystérieux à l’écran.
Lors de la dernière saison d’apparition de cette épreuve, le candidat choisi se voyait attribuer des pénalités si son équipe avait échoué dans des épreuves auparavant. Une ou des croix étaient alors déposées sur des ronds et le candidat ne pouvait pas les choisir. Tant de boyards en moins donc. Mais avec un peu de chance, il pouvait recouvrir le leurre et donc ne plus tomber dessus. Ce jeu sera finalement supprimé à l’issue de la saison 2001, au grand damne des fidèles qui l’appréciaient beaucoup.
Parallèlement au jeu de la Sauvageonne, une autre épreuve récurrente avait lieu en 1997. Le Maître du Fort Patrice Laffont jetait la septième clé dans la cage des tigres. Ainsi pour récupérer la septième clé (et donc la dernière), un candidat était choisi pour aller la chercher dans la Salle du Trésor, au milieu des fauves, à l’aide d’une machine à pédale grillagée. Pour choisir qui devait y aller, la Sauvageonne plaçait un rat dans un petit labyrinthe (celui utilisé par Ratman les saisons précédentes). Chaque candidat se plaçait sur un escalier devant une tête de tigre de couleur. Au bout d’un moment, le rat finissait par entrer dans un trou associé à une couleur. C’est le candidat placé derrière la couleur dans laquelle était entré le rat qui devait effectuer l’épreuve. Globalement cette épreuve était rapide et, placée en fin de partie, apportait un petit enjeu et surtout une dose de stress. À l’époque, mener un tel jeu était assez spectaculaire. Pour des raisons artistiques et techniques (les tigres pouvaient se montrer difficiles à dresser et se plaçaient sur la cage à pédale, empêchant le candidat d’avancer à cause de leur poids), l’épreuve a finalement été supprimée pour revenir depuis 2014 sous la forme de l’épreuve du Safari, mais selon de nouvelles modalités.
En 2000-2001, le personnage de Lumineuse, la fée blonde du Fort dont était amoureux Jean-Pierre Castaldi, investit le Fort. Au cours de la partie « Épreuves » (mais aussi lors des Aventures), les candidats pouvaient décider de suivre la fée qui déposait un de ses foulards sur une clepsydre devant une porte d’épreuve. Si l’équipe avait décidé de la suivre, elle jouait non pas pour une clé, mais pour une couleur. En effet, en début d’émission, Lumineuse avait mélangé deux couleurs primaires donnant donc une couleur du jour. L’équipe devait deviner la couleur du jour choisie par Lumineuse et issue de ce mélange de deux couleurs primaires. Pour les aider, ils pouvaient jouer lors d’une épreuve et d’une aventure pour gagner une des deux couleurs plutôt qu’une clé ou un indice. En fin d’émission, l’équipe déterminait la couleur choisie par Lumineuse et, si elle trouvait la bonne, pouvait doubler ses gains.
En 2002, l’épreuve récurrente de la « Presse à Boyards » que nous avons évoquée est supprimée. Est alors proposée la saison suivante celle de l’Échelle infernale et du jeu des palets, toujours gérée par la Bohémienne. Cette fois, le candidat « capturé » par la Bohémienne devait gagner des barreaux. Pour ce faire, six palets étaient retournés. Le candidat devait mémoriser lesquels arboraient un barreau doré sur leurs faces. Après quelques secondes de mémorisation, la Bohémienne les retournait et enclenchait une machine qui mettait en mouvement les palets. Charge aux candidats de suivre les bons et, une fois la machine arrêtée, de les désigner. Ces barreaux devaient servir au candidat que le coach choisissait pour l’épreuve de l’Échelle infernale, où il fallait reconstituer une échelle pour atteindre la clé en hauteur, d’où l’intérêt d’en gagner beaucoup. Peu convaincant, ce jeu n’a eu qu’une année d’existence et a entraîné dans sa chute le personnage de la Bohémienne, supprimé la saison suivante. Le fait de voir chaque semaine l’épreuve de l’échelle infernale est pour beaucoup dans cet échec. Les téléspectateurs avaient largement exprimé leur lassitude. Si bien que cette épreuve, bien que toujours sur le Fort aujourd’hui, n’est toujours plus jouée dans la version française depuis de nombreuses années.
À noter aussi en 2006 une épreuve semi-récurrente (à l’image de la Clé à la mer), quand un candidat échouait à répondre à l’énigme du Père Fouras en vigie, un autre devait affronter la gymnaste dans l’épreuve du Pont de singe en extérieur (au niveau du 2e étage, au-dessus de la Salle du Trésor et des tigres). Chacun des duettistes devait s’emparer le plus vite possible d’un sac muni d’une clé permettant d’ouvrir un boîtier contenant un code. Ce code permettait d’ouvrir une boîte contenant la clé en jeu. Bien sûr, cela n’était pas simple, car il fallait faire un aller-retour le plus vite possible sur un pont de singe suspendu au-dessus du vide, sans compter que la gymnaste était très rapide. Faute d’une vraie incarnation du personnage de la gymnaste et du caractère répétitif de l’épreuve sur dix émissions, la production a choisi de supprimer le personnage la saison suivante.
En 2007, après un certain nombre d’années sans épreuve réellement récurrente, la production décide de faire pénétrer un Chinois dans ses murs : M. Tchan. Personnage sévère et inquiétant, il convoquait les candidats dans son antre (cellule qu’occupaient déjà la Sauvageonne et la Bohémienne entre 1996 et 2002) et choisissait un candidat, qui était alors sacrifié par l’équipe, à moins qu’il ne puisse être libéré, ce qui était extrêmement rare. Le candidat sacrifié était placé en hauteur sur un sarcophage. Au-dessus de lui, un puzzle chinois (tangram) que devait résoudre un membre de son équipe avec l’aide (seulement orale) de ses camarades. En cas d’échec, la clé passait bien sûr sous le nez de l’équipe, mais en plus, elle perdrait son candidat qui basculait dans une trappe et était fait prisonnier ! Une mise en scène assez spectaculaire puisque la trappe s’ouvrait, aspirant le candidat, quand le Chinois poussait un cri tout en faisant une pirouette dont il avait le secret. Récurrente, cette épreuve a beaucoup plu, mais, au bout de trois saisons, devenait répétitive, l’effet de surprise étant moins fort au fil des saisons et l’épreuve presque toujours perdue. Elle fut supprimée à la fin de la saison 2009 et le personnage malheureusement congédié, alors qu’il était lui aussi fort apprécié.
On le constate, les épreuves récurrentes ont eu des formes diverses. Elles permettaient de gagner des clés, mais aussi des boyards et d’autres éléments nécessaires ou déterminants à l’avancée des candidats dans le jeu. Toutes très courtes, elles n’excédaient guère plus de cinq minutes, ceci afin d’éviter aux téléspectateurs de décrocher. Elles étaient toutes placées sous la responsabilité d’un personnage, souvent emblématique ou qu’il l’est devenu de fait. Enfin, ces parties n’interrompaient pas le chronomètre général, qui continuait de s’écouler.
FORT BOYARD AUJOURD’HUI : LA CAGE, PLUS QU’UNE ÉPREUVE, UNE SOUS-PARTIE
Et c’est bien là la principale révolution de La Cage. Il s’agit d’une sous-partie à l’intérieur de la partie « Épreuves ». Le chronomètre s’arrête durant les duels et reprend par un coup de gong de Félindra à l’issue de ceux-ci.
Après avoir reçu une convocation en règle de Rouge, la sœur jumelle (mais diabolique) de Blanche via une vidéo, l’équipe doit se rendre sur le champ dans La Cage pour effectuer trois duels qui peuvent lui permettre de gagner trois clés. Mais pour ouvrir le portail menant à la prison de Rouge, l’équipe doit sacrifier une de ses clés. Au mieux, l’équipe peut donc récupérer sa clé perdue et en gagner deux de plus. Un enjeu crucial quand on sait la difficulté que les candidats éprouvent pour récupérer les sept clés depuis 2003.
Pour accueillir l’équipe, la cellule 203 (anciennement Cellule qui rétrécit) a été entièrement redécorée et le jeu prend place dans toute la cellule. Le décor est fait de terre battue, de structures métalliques noires, de grilles… Il y fait également très chaud sous les multiples projecteurs qui s’allument et éblouissent les candidats quand ils entrent dans la cellule par une corniche métallique aménagée à l’extérieur (l’entrée se faisant en fait par l’ancienne fenêtre de la cellule). Le contraste jour/« nuit » est d’ailleurs saisissant.
Les règles sont énoncées par Rouge, vêtue d’une tenue d’amazone, munie d’un arc et accompagnée d’un corbeau (mauvais présage). Physiquement d’ailleurs, bien que ce soit Delphine Wespiser qui interprète également le rôle, on a du mal à la reconnaître tant le travail des maquilleuses est réussi. La balafre sur sa joue lui donne un air encore plus grave et sévère, en plus de ses yeux noir et profond. Son gimmick « Bonne chance, vous en aurez besoin » est excellent et risque bien de devenir culte.
Face aux candidats, six anciens candidats emblématiques, pour la plupart des habitués du Fort. Tous arborent des noms précis : Élodie l’Experte (référence à ses sept participations au jeu), Moundir l’Aventurier (en référence à Koh-Lanta qui l’a fait connaître), Flexi Brahim (pour ses talents de danseur), Fauve la Tigresse (pour son côté combattante, sa personnalité et sa belle crinière rousse), Captain Olmeta (pour son rôle d’ancien gardien de but) et Ariane la Spartiate (pour ses allures de guerrière intransigeante). On pouvait au départ craindre que les célébrités choisies aient du mal à incarner le rôle. Ce doute est dissipé au bout des deux premières émissions, avec une mention pour Brahim Zaibat dont l’esprit de compétition a été exceptionnel et qui n’a pas fait de cadeau à l’équipe (nous reviendrons d’ailleurs sur la difficulté de La Cage). Les costumes choisis pour les candidats aident aussi à entrer dans l’univers de la Cage et tous ont été choisis avec soin, respectant la personnalité des personnalités. L’entrée des guests dans La Cage est d’ailleurs du meilleur effet avec cette lueur blanche et bleue dans un univers sombre.
Côté jeux, nous en avons déjà vu six sur les huit annoncés. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont efficaces. Les règles, comme chez Blanche, sont claires et rapides. La compréhension est simple, et on entre instantanément dans le duel. On est ravi de revoir Le Cabestan, certes on aurait préféré le voir dans le cadre d’une cellule complètement redécorée (comme la soute d’un bateau par exemple), mais on se contente déjà de ce petit retour. L’un des meilleurs duels est sans doute celui de la Faucheuse, où le suspense est omniprésent. Celui du Rodéo est amusant. La Poutre ne démérite pas avec son parcours à l’aveugle qui complique grandement les choses. Le Double trapèze est peut-être moins entraînant. Le Dos à dos est quant à lui redoutable.
La durée de cette sous-partie n’est pas excessive, tout juste dix minutes, parfaitement employées et rythmées, sans temps mort, et avec en prime les commentaires sarcastiques de Rouge dont on ne se lasse pas. Finalement, l’inquiétude concernant la durée avec tout de même trois duels s’est vite dissipée.
En somme, peu de choses à redire. La production avait promis que les parties ne traîneraient pas en longueur et la promesse est tenue. De même, l’enjeu et le suspense sont là. Que demander de plus ?
FORT BOYARD DEMAIN : CONTINUER A CRÉER LA SURPRISE
Si cette sous-partie est maintenue l’année prochaine, et elle est bien partie pour, que faudrait-il changer ou conserver ?
Malgré quelques avis qui nous sont parvenus concernant le fait que cette partie est en rupture et casse le rythme de l’émission, globalement la majorité des retours est beaucoup plus positive que négative, y compris sur la durée. Le pari est donc réussi pour la production. Les téléspectateurs ne sont pas tentés de zapper, mais au contraire semblent enclins à savoir ce qui va se passer.
On peut toutefois se poser différentes questions. Faudra-t-il absolument renouveler toute l’équipe des guests afin de maintenir un effet de surprise saison après saison ? La question n’est pas si évidente, car l’on pourrait s’attacher à certains duettistes et l’effet « personnage éphémère » est risqué, car en principe un personnage est fait pour durer, à l’image de Blanche et Willy qui ont parfaitement trouvé leur place. Que se passera-t-il quand les anciens guests reviendront en tant que candidat ? Ce mélange des genres pose question, même si la production a eu la brillante idée de présenter les guests comme d’anciens candidats, et non comme des personnages à part entière.
Ce qui est plus évident, c’est qu’il faudra en revanche ajouter au moins un tiers de nouveaux jeux pour qu’un effet de lassitude ne se fasse pas sentir.
Par ailleurs, La Cage doit rester réalisable et à la portée de tous les candidats, de toutes les équipes. Placer des spécialistes endurants à la tête des personnages de La Cage a été quelque peu critiqué par certains de nos internautes qui ont trouvé que cela n’était pas très juste. Dans le même ordre d’idée, faut-il faire sacrifier une clé aux équipes pour entrer dans La Cage alors qu’elles ont déjà bien du mal à en obtenir sept ? Il faut bien entendu rester lucide, la production souhaite que les émissions surprennent les téléspectateurs, et le but n’est donc pas forcément que l’équipe obtienne toutes les clés. D’ailleurs, depuis 2003, les équipes qui ont réussi cet exploit sont rares. Ces questions sont donc difficiles à trancher. Mais sans enjeu, la partie ne serait plus intéressante, il faut donc maintenir des contreparties. Mais l’équipe pourrait très bien jouer pour autre chose que des clés (pour de petites bourses de boyards par exemple).
Un petit mot sur le costume de Passe-Muraille : certes c’est un détail, mais est-il utile de l’affubler d’un costume de squelette ? Une tenue de guerrier, de gladiateur ou tout autre élément plus sobre et mieux intégré à l’univers de La Cage aurait fait l’affaire.
Il reste encore huit émissions à visionner, et il est possible que des détails nous aient échappé, mais l’essentiel de La Cage paraît convenir aux internautes et la rédaction est également satisfaite. Ce n’était pas gagné d’avance et pourtant on assiste à une quasi-unanimité.
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Photos et captures : © France Télévisions / Gilles Scarella / Jean Pimentel
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